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Baisse des prix au Sénégal: liste des mesures prises par le Gouvernement

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Le Ministre, Secrétaire général du Gouvernement a annoncé ce jeudi 13 juin 2024 à la salle de conférence de la Primature une baisse des prix des produits de grande consommation, accompagnée d’efforts pour améliorer l’accès à Internet et au logement. Voici la liste des baisses économiques annoncées à cet effet:

Sucre cristallisé: Le prix du kilogramme est homologué à 600 FCFA, contre 650 FCFA, actuellement, soit une baisse de 50 FCFA.

Riz brisé non parfumé: Le prix du riz brisé non parfumé ne doit pas dépasser 410 FCFA, soit une baisse de 40 FCFA par rapport au prix actuellement pratiqué. Avec l’arrivée prévue du riz indien, une nouvelle baisse est attendue à partir du mois d’août.

Huile raffinée: Le prix de l’huile de palme raffinée (la plus consommée) baisse de 100 FCFA. Les droits de portes appliqués sur l’huile brute en vrac seront fixés de sorte à ne pas affecter la compétitivité de nos unités industrielles.

Pain: Le prix de la baguette de 190 grammes baisse de 15 FCFA, et est stabilisé à 160 FCFA contre 175 CFA, actuellement. L’Etat suspend les droits de douane sur le blé et la TVA sur la farine de blé. Le poids de la baguette reste maintenu à 190 grammes. Cette baisse du pain résulte, pour le moment, de l’effort de l’Etat.

Ciment: Grâce à la suppression de la parafiscalité, le prix de la tonne de ciment baisse de 2 000 FCFA. Au titre de l’accès facilité au logement, le foncier Mbour IV et celui autres sites octroyés à des promoteurs, qui n’ont pas procédé à la mise en valeur, seront réalloués à d’autres promoteurs, rigoureusement choisis. Cela permettra de faciliter l’accès au foncier à de nombreux ménages aux revenus modestes. L’effort consenti par l’Etat est de l’ordre de 53,4 milliards FCFA dans le respect des équilibres financiers. En outre, grâce à un meilleur ciblage des subventions (surtout dans domaine de l’énergie), la réduction du train de vie de l’Etat, l’élargissement de l’assiette fiscale etc, des économies sont en train d’être réalisées.

Le digital: Les trois opérateurs ont répondu à l’appel de l’Etat pour une baisse des tarifs. De nouvelles offres (internet et appel) profiteront aux consommateurs, surtout ceux qui achètent des forfaits au détail.

Les engrais: Les prix ont reculé de plus de 20 %, par rapport à la précédente campagne. En parallèle, le volume d’engrais minéral a crû de 35 % par rapport à l’année précédente. Grâce à la transparence dans sélection fournisseurs et les process, en collaboration avec organisations paysannes et Industries Chimiques du Sénégal (ICS), l’ensemble des réductions de prix a permis aux paysans de réaliser économie totale de l’ordre de 7,506 milliards FCFA pour la présente campagne agricole.

L’entrée en vigueur de ces prix sera décidée à la suite d’une réunion du Conseil national de la consommation (CNC), qui aura lieu le mardi 18 juin 2024. À l’issue de cette réunion, la date de démarrage de la réduction du prix sera annoncée. D’autres baisses sont d’ailleurs prévues, de façon concertée.

Projets GTA et Sangomar : comment l’État va rembourser plus de 500 milliards F CFA à Woodside, BP et Kosmos

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Dans le cadre de l’exploitation des champs Sangomar (pétrole) et GTA (gaz), Petrosen, bras armé de la politique pétrolière du gouvernement, avait contracté trois prêts auprès des compagnies partenaires du Sénégal (Woodside, BP et Kosmos) pour faire face à sa contribution dans les coûts de développement desdits projets. L’ardoise s’élève au total à 884,099 millions de dollars (plus de 500 milliards de F CFA).

D’après Libération, qui donne l’information, les fonds seront remboursés à partir des revenus tirés de la commercialisation du gaz de GTA et du pétrole de Sangomar, dont la production a démarré.   

Le journal rapporte que Petrosen avait emprunté 450 millions de dollars (plus de 275? milliards F CFA) à Woodside, en janvier 2020, pour «financer une partie de ses besoins» dans le projet pétrolier concerné. La même source ajoute qu’auparavant, en février 2019, elle avait pu lever 290 millions de dollars (plus de 177 milliards F CFA) et 144,985 millions de dollars (88 milliards F CFA) auprès de BP et Kosmos, respectivement, pour supporter ses charges dans le projet GTA que le Sénégal partage avec la Mauritanie.

La même source renseigne que chacun de ces prêts a été consenti sur la base d’un taux d’intérêt de 6,5% pour une maturité d’au moins 7 ans.

Nouvelle taxe : après les médias, un autre secteur stratégique dans le viseur du Fisc

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Les nouvelles autorités multiplient les initiatives pour renflouer les caisses du Trésor en explorant toutes les pistes internes. Réduction du train de vie de l’État, recouvrement fiscal, instauration d’une nouvelle taxe…, le régime issu de la présidentielle du 24 mars tape à différentes portes.
 
Certains groupes de presse, qui ont vu leurs comptes bancaires bloqués pour non règlement de dettes fiscales, l’ont appris à leurs dépens. Et après le secteur des médias, c’est au tour du très liquide monde du numérique d’apporter sa contribution à «l’effort de guerre». La Direction générale des impôts et domaines (DGID) va bientôt, en effet, instaurer une TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) sur les activités numériques.
 
D’après L’Observateur, qui donne l’information, la mesure entrera en vigueur le 1er juillet prochain et concernera «la fourniture de biens et services immatérielles via les réseaux informatiques et/ou électroniques». Seront touchés, selon le journal : «l’intermédiation numérique (plateformes et places de marché facilitant les transactions entre fournisseurs et clients), le téléchargement et diffusion (musique, films et jeux en ligne), le stockage et traitement des données (services de Cloud et gestion de bases de données), l’apprentissage et enseignement en ligne (cours et formations à distance) et l’hébergement de contenus en ligne (sites web, images et textes)».
 
La même source souligne que la mesure, initiée par le ministère des Finances et du Budget, s’appliquera également aux fournisseurs étrangers et aux plateformes intermédiaires. Elle ajoute que la nouvelle taxe sera déterminée sur la base du chiffre d’affaires.

Source : Seneweb

Assemblée nationale : Une décision forte tombe contre les rendez-vous pour obtenir un visa

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La députée Ndialou Bathily a récemment soulevé une question majeure concernant les difficultés rencontrées par les citoyens sénégalais dans l’obtention de visas auprès des ambassades, particulièrement celles de la France, de l’Italie, de l’Espagne et du Portugal. Au cœur de ses préoccupations : les frais exorbitants exigés pour simplement obtenir un rendez-vous, sans aucune garantie de succès pour la demande de visa.

« Pour obtenir un rendez-vous, les usagers doivent débourser entre deux cent mille (200 000) et trois cent mille (300 000) F CFA. Cependant, ce paiement ne garantit ni le dépôt du dossier ni l’obtention du visa. Il arrive même que la date du rendez-vous soit modifiée sans que le dossier soit déposé, sans possibilité de remboursement », a déclaré la députée, membre du groupe parlementaire Yewwi Askaan Wi.

Face à cette situation préoccupante, Ndialou Bathily a adressé une question écrite à la ministre des Affaires étrangères, cherchant des éclaircissements sur ces pratiques et les contraintes réelles associées à la délivrance des visas. « Madame le ministre, pourquoi les usagers doivent-ils payer pour obtenir un rendez-vous ? Ce montant, distinct des frais de visas non remboursables en cas de refus, correspond à quoi exactement ? Quelles sont les véritables contraintes dans le processus de délivrance des visas ? », s’est interrogée la députée.

Outre ses préoccupations sur les frais de rendez-vous, Ndialou Bathily a souligné les conséquences sociales de ces pratiques sur les jeunes. « Face à l’impossibilité d’accéder aux services de dépôt des visas, de nombreux jeunes se tournent vers l’immigration irrégulière, risquant leur vie dans des traversées périlleuses en pirogue », a-t-elle ajouté. Elle a appelé les autorités compétentes à examiner cette question sérieusement afin de prévenir l’immigration irrégulière et de garantir un accès équitable aux procédures de demande de visas. « Nous vous demandons de contacter les services concernés pour clarifier le processus normal de demande de visas, identifier les dysfonctionnements et y apporter des solutions », a conclu Ndialou Bathily.

Plainte de Juan Branco : Le verdict est tombé pour Macky Sall

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La plainte déposée en France par l’avocat Juan Branco contre l’ancien président sénégalais Macky Sall et ses anciens collaborateurs pour crimes contre l’humanité a rencontré un obstacle majeur.

Selon des informations du journal Le Monde, une source judiciaire du Parquet national antiterroriste (PNAT) a confirmé que le doyen des juges d’instruction s’est déclaré incompétent en février 2024, estimant que les faits dénoncés ne correspondaient pas à la qualification de crimes contre l’humanité. Un appel a été déposé, mais la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris n’a pas encore rendu sa décision.

Lors d’une conférence de presse tenue à Dakar le jeudi 6 juin, Juan Branco a exprimé son scepticisme quant à la capacité de la Cour pénale internationale (CPI) à poursuivre les responsables de l’ancien régime sénégalais. Il a critiqué l’institution en la qualifiant de « sous influence » et a incité les Sénégalais à créer une « Cour spéciale » afin de juger eux-mêmes les actes de l’ancien régime. « C’est au Sénégal désormais que nous comptons demander, espérer et obtenir justice », a-t-il déclaré.

Juan Branco accuse Macky Sall et plusieurs hauts responsables sénégalais, dont le ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome, d’avoir orchestré une répression violente contre les opposants politiques et les manifestants. Ces répressions auraient entraîné la mort de 50 personnes et de nombreuses détentions arbitraires. Branco affirme également que le gouvernement sénégalais a commandé 104 tonnes d’armes, livrées à la présidence au second semestre de 2022.

Les déclarations de Juan Branco ont provoqué des réactions diverses au Sénégal. Les partisans de l’ancien président Macky Sall dénoncent ce qu’ils considèrent comme une manœuvre politique, tandis que les défenseurs des droits humains appellent à une enquête impartiale et transparente. Le rejet de la plainte en première instance et l’appel en cours soulignent la complexité des procédures judiciaires internationales et la difficulté de poursuivre des anciens chefs d’État pour des crimes présumés. Les prochaines décisions de la cour d’appel de Paris seront cruciales pour déterminer la suite de cette affaire

Président Diomaye à Freetown : Les secrets d’une visite !

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Le chef de l’Etat sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, et son homologue de la Sierra-Leone, Julius Maada Wonie Bio, ont échangé, jeudi à Freetown, sur les voies et moyens de renforcer la coopération entre les deux pays, tout en abordant d’autres sujets d’intérêt commun, a-t-on appris de source officielle

Au State House, la résidence officielle du Président de la Sierra-Leone, Bassirou Dio­maye Faye et Julius Maada Wonie Bio ont tenu des entretiens pour renforcer la coopération bilatérale entre le Sénégal et la Sierra-Leone, indique la Présidence sénégalaise dans un message publié sur le réseau social X

Elle ajoute que les deux chefs d’Etat ont également abordé d’autres sujets ayant notamment trait à l’intégration en région ouest-africaine.

Ce déplacement de Bassirou Diomaye Faye dans la capitale sierra-léonaise entre dans le cadre d’une série de visites entreprise par le nouveau président de la République du Sénégal après sa prise de fonction officielle. Il s’est déjà rendu en Mauritanie, en Gambie, en Côte d’Ivoire, au Nigeria, au Ghana, au Cap-Vert, au Mali et au Burkina Faso.

Scandale foncier à Thiès-Ouest : 833 parcelles désaffectées sans aucune traçabilité

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Des irrégularités ont été décelées dans le rapport d’audit sur le foncier de la commune de Thiès-Ouest. La cérémonie de présentation dudit document a été une occasion pour le maire Dr Mamadou Djité de dénoncer d’«un autre scandale foncier découvert à Thiès, après l’affaire de Mbour 4».

«C’est là l’oeuvre d’anciens maires à Thiès», regrette l’édile de Thiès-Ouest. «D’après nos informations auprès des services techniques, il n’y a eu aucune traçabilité dans ces opérations. Il n’y a pas de procès-verbaux, il n’y a aucun document officiel qui retrace la façon dont ces opérations se sont déroulées. Qui en sont les bénéficiaires ? Quelles sont les populations qui ont été désaffectées ? Qui sont les attributaires de ces parcelles réaffectées ? », s’inquiète-t-il.
Selon le Dr Djité, «le receveur nous a donné une information selon laquelle il y aurait 833 parcelles désaffectées dans tout Thiès». Et selon le cabinet d’audit, les quartiers les plus concernés à Thiès-Ouest sont Mbour 1, Mbour 2, Mbour 3, route de Dakar 1 et route de Dakar 2.

Baisse des prix des denrées alimentaires: Thierno Bocoum parle d’ « un cercle vicieux »

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Ce jeudi, le nouveau gouvernement a annoncé la baisse des prix de certaines denrées de première nécessité. Leader du mouvement Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (AGIR), Thierno Bocoum magnifie la réduction des prix, mais pense que sans des mesures étatiques adaptées, les prix pourraient de nouveau grimper. Voici sa publication sur Facebook, ce vendredi 14 juin.

« Réduction des prix : un cercle vicieux

Une baisse des prix minime soit-elle n’est jamais négligeable. 1f de plus vaut mieux que 1f de moins dans la poche des goorgoolous.  
Nous encourageons et soutenons toute initiative visant à réduire significativement le coût de la vie.

Cependant, il est important de noter que des réductions de prix (baisse d’autorité) non compensées par des mesures étatiques ont souvent conduit à des phénomènes de spéculation et à une hausse des prix.

Par exemple, en novembre 2022, suite aux 11 décisions de baisse des prix des produits et services de consommation courante prises par le président Macky Sall lors du Conseil national spécial de la Consommation, le Ministère du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises avait fixé le prix homologué du riz brisé ordinaire à 325 FCFA le kilogramme.

Aujourd’hui, malgré la réduction de 40 FCFA prévue par les autorités actuelles sous l’égide du Président de la République Bassirou Diomaye Faye, le prix reste supérieur à celui homologué il y a un peu plus d’un an, s’élevant à 410 FCFA.

Il s’y ajoute que le maintien du prix sera tributaire de facteurs exogènes liés à l’évolution du marché des pays exportateurs.

A noter également et en attendant l’arrêté portant homologation, que le plus souvent certains prix fixés sont majorés d’un différentiel de transport dans les régions à l’intérieur du pays. Ce qui va encore réduire la petite marge chez certains compatriotes et les prix seront plus chers à l’intérieur du pays qu’à Dakar.

Les autorités sénégalaises doivent agir rapidement, comme promis, en mettant en œuvre des réformes structurelles pour augmenter l’offre de manière massive et endogène. Elles doivent donc se concentrer sur la mobilisation des ressources pour soutenir des stratégies de réformes structurelles visant l’autosuffisance alimentaire.
Pour être en conformité avec leurs promesses, que les autorités sénégalaises  commencent par supprimer les nombreuses caisses noires ainsi que certaines agences et directions inutiles qui forment des doublons avec d’autres et dont le maintien a été malheureusement acté par l’actuel président de la République son excellence Bassirou Diomaye Faye dans le Décret n° 2024-940 portant répartition des services de l’Etat et du contrôle des établissements publics, des sociétés nationales et des sociétés à participation publique entre la Présidence de la République, la Primature et les ministères.

Ces mesures auraient permis de réduire le train de vie de l’État, de créer des ressources additionnelles pour mettre en branle une politique structurelle devant conduire à une baisse conséquente et définitive de certains produits de première nécessité.

Une loi de finance rectificative s’impose pour mieux réorienter les ressources de notre pays vers la satisfaction des besoins des populations qui croulent sous le poids de la vie chère et ainsi répondre efficacement aux promesses faites aux populations.
Dans ce contexte d’une économie extravertie, l’État sénégalais doit tenir compte à la fois des importateurs et des fournisseurs qui assurent la pérennité des produits mais aussi des consommateurs en attendant de créer les conditions d’une solution endogène.
La pression fiscale et les diminutions d’autorité des prix auront pour conséquence de désintégrer le secteur formel de notre pays qui risque de se verser dans l’informel ou de mettre la clef sous le paillasson.

Nous nous félicitons, par ailleurs, de la suppression de la parafiscalité sur le ciment. Aider chaque Sénégalais à avoir un toit en réduisant les coûts de construction est une priorité majeure.

Zahra Iyane Thiam au gouvernement : « Il ne faut pas réduire les denrées, mais les services tels que l’électricité, le carburant, entre autres »

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Pour Zahra Iyane Thiam, le nouveau gouvernement ne devrait pas réduire les denrées de première nécessité, mais plutôt les services essentiels. Pour l’ancienne ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire sous Macky Sall, cette politique aurait plus d’impact sur la cherté de la vie que de baisser les prix des denrées. 
« À la lumière des premières réactions aux mesures relatives à la baisse des prix, je me demande s’il ne serait pas utile, pour le gouvernement, afin de maximiser l’effet sur le pouvoir d’achat des populations, d’envisager une politique de réduction des prix, non pas sur les denrées de première nécessité, mais sur les services essentiels tels que le carburant, l’électricité, entre autres. Cela permettrait de traiter le coût de la vie de manière plus globale et d’avoir un impact plus significatif sur la qualité de vie des citoyens », a proposé Mme Thiam.
La membre de Benno Bokk Yaakaar profite également de l’occasion pour souligner les efforts consentis par Macky Sall dans ce secteur durant son magistère. « À cet égard, il est à noter, malgré tout, que le gouvernement du président Sall s’est battu, au cours de la dernière décennie, pour stabiliser et maintenir les prix de l’énergie, une prouesse notable ! », ajoute-t-elle sur X

Premier baril de pétrole : Ousmane Sonko réceptionne un échantillon et fixe le cap

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Le Sénégal est entré dans une nouvelle ère. Ce mardi 11 juin 2024, le pays a produit son premier baril de pétrole. Le lendemain de ce jour historique, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a reçu des mains du ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines un échantillon de la première extraction de pétrole du champ de Sangomar. « Un petit pas sur le long chemin qui nous reste à parcourir », a-t-il déclaré. « Notre satisfaction ne sera complète que lorsque toutes les ressources du Sénégal seront équitablement profitables au peuple sénégalais. »

Le chef du gouvernement a rappelé l’article 25-1 de la Constitution qui stipule : « Les ressources naturelles appartiennent au peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. »
« Nous nous y sommes engagés, nous y travaillons et nous le ferons », assure-t-il.